1973

Il participe au 7e festival d’art actuel à Rouen dans une exposition intitulée « Paysages coincés ».

« Godefroy peint, peint les paysages, des paysages coincés comme il les appelle. L’horizon de ses paysages est plus ou moins haut, la rencontre du ciel et de la terre plus ou moins nette. À leur intersection il se passe bien des choses. (…)

Godefroy s’oriente de plus en plus vers le figuratif et les titres de ses toiles Paysages coincé sans oxygèneMouettes, accentuent, figuration que l’on pourrait appeler minimale ou, pourquoi pas, puisque l’épithète revient symptomatiquement chez lui « Coincée » Deux médiums à cet effet ; la traditionnelle peinture à l’huile et la peinture glycérophtalique, lisse, brillante. Le travail autrefois inspiré des pâtes écrasées de Nicolas de Staël puis devenu plus gestuel se concentre tout en couleur. Tout se passe comme si d’un Bazaine ou d’un Pignon avait été retenu : la peinture est incarnation et quête du réel. »

Michel Servière in « Valeurs de Rouen », n°2, 1973.

Dix-septième salon de l’Union des Arts plastiques à Saint Étienne du Rouvray avec Georges Breuil. L’exposition à la galerie de l’Estuaire, dirigée par Yvon Gay à Honfleur, inaugure la série des oiseaux.